Remerciements

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Je remercie les personnes qui m’ont permis d’aller au bout de cette démarche doctorale :

William Twitchett et l’Association Terre & Cité qui m’ont initié au territoire (petit ou grand) et à sa transformation, à la suite de Pierre Bertran de Balanda et d’Edmond Bonnefoy.

Geneviève Vial et l’École du citoyen Hommes Femmes dans la Cité qui m’ont initié à la dynamique d’organisation et à la dynamique politique qui se retrouvent sur tout territoire,

Jean-Jacques Funke avec qui nous avons eu l’audace d’expérimenter la dynamique d’échange d’expérience et la construction d’un réseau de mutualisation des acquis au sein de l’Association des Ingénieurs Territoriaux de France, soutenus par Christian Kieny et Bruno Neiss, ainsi que Maurice Ponton, Francis Kolb et beaucoup d’autres. Ce réseau est devenu national grâce à la confiance du président Claude Bastouill. Cette thèse appelle sûrement de nouvelles étapes …

Mon père, Henri Vaillant, qui m’a initié à la pensée organique, difficile, ardue, et pourtant si simple lorsque toute la vie est ressentie profondément comme une succession de gouttes d’expériences pleines, entières, intenses, qui portent leur sens à la fois toutes en elles et toutes données au delà …

J’ai une pensée particulière pour les personnes suivantes :

Pierre Calame et la Fondation pour le Progrès de l’Homme, qui m’ont initié par la large diffusion de leur travaux à l’échange d’expériences et aux réseaux d’échange d’expériences sur le terrain large de toute la société ; Jacky Deboudt à l’ARIM-Nord, Maurice Barth, qui m’a offert une vision et une pratique dynamique et originale de la direction de services techniques d’une collectivité territoriale, Philippe Buzzi et son pragmatisme managérial, François Roblin, qui est un praticien et chercheur infatigable sur le terrain du développement local ; Didier Charpentier, à l’EPF Lorraine, Patrice Braconnier, qui dans la « dernière ligne droite », après avoir lui-même fini une thèse économique avec laquelle j’ai trouvé d’étranges convergences, m’a apporté à travers nos dialogues l’énergie de finaliser la rédaction.

Je remercie mes amis, François Hohwald, Michel Dutoit, Thierry Bettler, Francis Manet, Wilma Vissers, Sophie Maillard, Daniel Meyer, Dominique Bayard-Fisson et Colette Lebrun et beaucoup d’autres qui connaissent mes larges lectures et m’ont interrogé inlassablement , certains depuis 25 ans : « Mais toi, qu’est-ce que tu penses ? ». Ce travail de recherche du sens de l’expérience, de déchiffrage du vécu leur apporte, je l’espère, une réponse tant attendue …

Ma mère et son « principe d’inquiétude », pour aller toujours « en avant », a été présente à travers l’exigence d’aller au bout de la démarche … Mes frères aussi, qui ont supporté ce lent cheminement. Le prix à payer a été très lourd pour mes enfants, Camille et Ghislain, qui ont pourtant fait l’objet prioritaire de toute mon attention, et inquiétude au sens de la recherche permanente d’une harmonie des différentes dimensions de la vie. Puissent les échecs humains apparents avoir une fécondité cachée, dont le sens puisse se dégager au fur et à mesure de l’avancée.

Je remercie Jean Pierre Husson, mon directeur de thèse pour sa patience dans la lente maturation de ce travail, sa confiance sur son aboutissement, et son accueil des nouveautés successives apportées par la confrontation de la géographie, l’urbanisme, la philosophie et la science.

Je remercie les membres du jury pour leur attention à ces propositions en grande partie nouvelles et leur patience à en tester la pertinence souhaitée.

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